Première journée à Séville. La chaleur.

L’inconnu. La photographie. Au programme, découvrir une ville synonyme de richesse culturelle et historique mais aussi d’été et de moments délicieux.

Un rythme naturel, des pauses pour capturer l’instant présent, des vérifications géographiques, des ombres vivement recherchées, un environnement très dépaysant.


Cette ville est enveloppée entre la température étouffante et la gentillesse des habitants. Du moins c’est que l’on ne comprend pas un mot et que tout va très vite.


La ville s’anime entre les touristes et les monuments historiques. Une pensée pour tous ces chevaux transportant ces touristes peu sensibles à la condition animale.



Un bref échange avec des canadiens et les portes du Real Alcazar s’ouvrent. Ce que nous voyons est splendide. Tout comme la Plaza de Espana. Un concert et un spectacle de flamenco nous captivent et nous montrent toute la force des traditions espagnoles. Une intensité chorégraphique remarquable sous 40 degrés. C’est d’ailleurs dans les rires et la danse que ce clôturera notre pause bien méritée à l’hôtel. Après des énièmes croquetas et un verre de vin « blanco secco » il est temps de se ressourcer. Le plus beau dans tout cela c’est que ce n’est que le premier jour.